L'appareil photo numérique Lumix DMC-TZ7 est un maître choix, tant pour les débutants que les amateurs éclairés.
Le constructeur japonais Panasonic s'est forgé une solide réputation dan le monde de la photographie numérique grâce à sa gamme d'appreils Lumix balayant toutes les cibles, des professionnels aux novices. Fer de lance de la catégorie grand public, la famille TZ jouit d'une immense popularité, même si la concurrence rapplique à grandes enjambées. L'heure est donc venue pour Panasonic de remettre les pendules à l'heure. Contre 429 €, le Lumix DMC-TZ7 délivre de performances d'exception et coiffe la couronne suprême.
Element inhabituel, le TZ7 dispose de deux déclencheurs, un pour les photographies, un pour les vidéos. Sans atteindre les performances d'un caméscope à part entière, l'appareil enregistre des séquences filmées d'extraordinaire qualité, clouant sur places ses concurrents. Les images captées au format AVCHD atteignent la résolution de 720 lignes de 1080 pixels (720p) alors que le micro restitue un son certifié Dolby Stéréo 48 Hz. Bref, cet appareil polyvalent constitue un très bon caméscope d'appoint.
Un peu d'embonpoint
La vidéo n'est évidemment pas le seul atout du dernier bébé Panasonic. Le capteur de douze millions de pixels livre des fichiers photographiques riches de dix millions de pixels quel que soit le ratio d'image séléctionné (4/3, 3/2, 16/9). L'impeccable objectif Leica fait coup double. Le grand angle descend à 25 mm, tandis que le zoom culmine à 300 mm. Tout juste regrettera-t-on l'embonpoint du Lumix DMC-TZ7, plus encombrant que ses ennemis.
La réplique de Canon
Objectif 28-336 mm pour un zoom 12 x et vidéo en haute définition : le tout nouveau Canon PowerShot SX200 IS braconne sur les terres de la famille TZ de Panasonic. Moins cher (349 €) que le TZ7, le dernier Canon bénéficie des services d'un capteur de douze millions de pixels livrant des clichés d'excellente facture. Les vidéos sont hélas en retrait. A l'inverse du Panasonic, le zoom n'est pas fonctionnel pendant la prise de vue et le son n'est enregistré que sur un seul canal. Plus grave, on ne comprend pas la décision des concepteurs de l'appareil, qui ont décidé que le flash sortirait automatiquement de son logement à chaque mise sous tension. A part bloquer l'ouverture avec du scotch, il n'existe pas d'autres moyens de se débarrasser de cette erreur flagrante de conception.
Jeux
Mariage explosif entre "Super Mario" et "Tetris", l'excellent "Henry Hatsworth L'Incroyable Expédition" alterne brillamment les séquences de plates-formes sur l'écran principal et la résolution de casse-tête sur l'écran tactile. Edité sur DS par Electronic Arts (40 €). | Sega saborde sa mascotte bleutée dans le cruellement décevant "Sonic et le Chevalier Noir". Edité sur Wii (50 €), le titre souffre d'un rythme haché incompatible avec l'esprit du héros contraint dans cet épisode de disputer moult combats à l'épée. A fuir !. |
Internet
Le blog d'une camionneuse "Je suis camionneuse. Le camion, c'est mon bureau, les routes de l'Amérique, mon territoire". Originaire de Montréal (Canada), Sandra Doyon raconte son quotidien au fil de chroniques sincères et passionnées. Les photos abondent, une carte retrace son itinéraire en cours. |
Les séries du passé De "Au nom de la loi" à "Amicalement vôtre", de "Daktari" à "La Croisière s'amuse", le blog baptisé "720 lignes" évoque avec un sens pertinent de l'analyse les séries télévisées du passé. Les billets un brin nostaliques, abritent avec bonheur photos et vidéos. |
Source : Télépro.be Georges LEKEU.
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